Groupe scolaire Gérard Philipe

60 rue des Petites Pannes, 49000 Angers

282

Programme

Restructuration d’un groupe scolaire portant sa capacité à 15 classes, avec la construction d’un nouveau restaurant scolaire, la transformation de l’ancien restaurant scolaire en pôle administratif et accueil, la restructuration-extension de la maternelle, la restructuration de l’élémentaire, la création d’une salle, d’un pôle accueil périscolaire, d’un multi-accueil de 36 berceaux, la désimperméabilisation des cours et la création d’une liaison douce.

Concepteurs

  • DCL architectes

Commune

  • Angers

Maître(s) d'ouvrage(s)

  • Ville d'Angers

Thèmes

  • Architecture

Année de réalisation

2023

Surface(s)

4 047 m² SP (dont 1 853 m² de SP neuve et 915 m² de restructuration lourde)

Coûts

Coûts 5 302 000 € HT (valeur 2023) dont 442 500 € HT d’aménagement extérieur

Documents

Construit au cœur d’un îlot résidentiel dans les années 1960, le groupe scolaire Gérard Philipe constitue un édifice sur le principe d’un modèle plusieurs fois répété sur la ville d’Angers pour répondre aux besoins démographiques de la seconde moitié du XXe siècle. La mise à niveau de cet équipement vétuste a conduit à une restructuration lourde portant sa capacité à 15 classes avec la construction d’un nouveau restaurant scolaire, la transformation de l’ancien restaurant scolaire en pôle administratif et accueil, la restructuration-extension de la maternelle, la restructuration de l’élémentaire, la création d’une salle, d’un pôle accueil périscolaire, d’un multi-accueil de 36 berceaux, la désimperméabilisation des cours et la création d’une liaison douce. Le projet proposé à la ville visait à réunir les deux bâtiments existants à l’aide d’extension en simple RDC pour faciliter les synergies pédagogiques au sein du groupe scolaire. Compte-tenu de l’augmentation des effectifs et de la hausse de la part des demi-pensionnaires, la construction d’un nouveau restaurant scolaire a permis de dégager le volume de l’ancien restaurant situé à l’articulation des deux « écoles » pour créer un hall d’accueil commun ainsi que la mutualisation des espaces destinés à l’équipe pédagogique et les bureaux associés. Malgré la création de nouvelle emprise bâti et la mise en oeuvre d’une liaison piétonne, le parti pris du projet visait à conserver l’ensemble des arbres de la parcelle formant le “parc” dont deux bosquets de cèdres, le mûrier de la cour maternelle désormais classés.

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